Le premier volet de l’APAJ concerne l’aide aux victimes – » Te Rama Ora »

Accueillir, Ecouter gratuitement et en toute confidentialité les victimes (directes ou indirectes) d’infractions pénales.

Informer les victimes sur les procédures et sur leurs droits : (Dépôt de plainte à la gendarmerie ou directement devant le Procureur de la République ; Constitution de partie civile afin de pouvoir demander réparation des préjudices subis ; assistance d’un avocat lors de la procédure, etc …)

Aider et Accompagner les victimes dans les démarches : Pour certains, le monde de la justice est difficile à comprendre. TE RAMA ORA explique et aide les victimes ou leurs proches à faire valoir leurs droits. L’association aide à rédiger les courriers des victimes au Procureur, aux juges.

Te Rama Ora joue également un rôle d’interface entre les victimes et les avocats ou les services judiciaires pour celles qui n’ont ni les moyens ni le courage de faire le premier pas pour demander aide, information ou réparation.

Elle accompagne les victimes à l’audience du Tribunal Correctionnel ou de la Cour d’Assises afin de les guider et de leur expliquer le déroulement de l’audience.

Orienter les victimes : Te Rama Ora oriente et facilite les rencontres avec les psychologues, les avocats, les services sociaux ou médicaux en fonction des besoins.

Le deuxième pôle d’activités de l’APAJ, appelée « Missions socio-judiciaires », s’occupe des auteurs d‘infraction pénale.

Missions judiciaires:

Participer à la lutte contre la délinquance et la récidive. Ce pôle est notamment chargé de la mise en œuvre des mesures alternatives aux poursuites et des stages de sensibilisation destinés aux auteurs d’infractions.

Dans ce contexte, nous recevons en majorité des primo-délinquants ayant commis des infractions de faible gravité . Par exemple, quelqu’un vole pour la première fois un téléphone portable, le procureur peut l’orienter devant un délégué du procureur pour le responsabiliser et conditionner le classement de la procédure au paiement d’une amende et à l’indemnisation de la victime. Le délégué du procureur est alors chargé du suivi de ces mesures. Si les engagements ne sont pas respectés, le voleur risque d’être renvoyé devant le tribunal correctionnel où il encourt des peines d’amendes, de prison, auxquelles s’ajoutent le paiement de l’indemnisation de la victime, des frais de procédure et l’inscription sur le casier judiciaire.
Dans ce cadre, les deux délégués du procureur de l’APAJ réalisent des rappels à la loi qui consistent à signifier à l’auteur la règle de droit, la peine prévue et les risques de sanctions encourus en cas de réitération ; des médiations pénales ou encore des compositions pénales. Ces dernières consistent à proposer aux mis en cause qui reconnaissent les faits, en contrepartie de l’abandon des poursuites, différentes mesures telles qu’une amende, une injonction thérapeutique, ou un stage de sensibilisation. La composition est inscrite sur le casier judiciaire pendant 3 ans.

Les alternatives aux poursuites participent à rendre une justice rapide, personnalisée, et à désengorger les audiences du tribunal, déjà bien chargées, au profit des délinquants les plus inquiétants. »

COMPOSITION DU CONSEIL D’ADMINISTRATION
 
 

  • Patrick MAUCOURANT
  • Thierry MESNIL
  • Thierry GERBOUIN
  • Sebastien BRACH
  • Président d’honneur
  • Président d’honneur
  • Président d’honneur
  • Président d’honneur

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE 2019

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE 2018

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE 2017

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE 2016

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE 2015

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE 2014

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE 2013